le masque et la plume le meilleur reste à venir

Mère d’une fille de 8 ans, Stella (Zélie Boulant-Lemesle) le film raconte sa préparation et la difficulté, entre une mère et sa fille de se séparer. DOSSIERL'actu du cinéma : les critiques du Masque et la Plume. "Ad Astra", "Douleur et gloire", "Dumbo", "Grâce à Dieu", "J'accuse ! Brad Pitt est encore plus émouvant dans ce film". Passionnante aussi est l'interprétation de Jean Dujardin [...] Tous les personnages sont parfaitement croqués par Polanski, ils représentent une France qui est totalement corrompue et ils sont joués par d'excellents acteurs"... Eva Bettan a elle aussi été emportée par le film ! C'est cette force du collectif qui les transcende [...] Le film est absolument passionnant car il montre aussi des temporalités différentes. Elle fait rarement allusion à la musique, mais parfois et, en même temps, c'est quelqu'un qui fait du blablacar dans ce chapitre hilarant où elle est prise avec des gens qui lui interdisent de parler et même de chanter. Recevez du lundi au vendredi à 12h une sélection toute fraîche à lire ou à écouter. Ce qui est formidable c'est qu'on sent la pourriture, il n'y a pas d'air, on est immiscés dans une société fermée qui couvre l'antisémitisme. DOSSIERL'actu des livres : les critiques du Masque et la Plume. Sophie Avon a peut-être été moins touchée mais est d'accord avec ses camarades : "c'est vraiment un beau film. Mais Elle Fanning, pardon, ce n'est pas possible... elle est effroyable.... Pierre Murat a adoré Timothée Chalamet, le double parfait de Woody Allen : "il aime le jazz, il aime les vieux films et Woody Allen réussit avec ce jeune homme tout à fait démodé, hors du temps à en faire une silhouette absolument délicieuse. Critique - Pourquoi "Une partie de badminton" d'Olivier Adam a-t-il tant ennuyé le "Masque & la Plume" ? Sombrant de jour en jour dans la précarité, c'est dans l’espoir d’acheter un pavillon que Ricky décide de devenir chauffeur-livreur pour une plateforme de vente en ligne. Pierre Murat a été touché par la précision et le lyrisme des rapports établis entre les personnages : "J'ai découvert plein de choses. Elle souffre d'insomnie. Pour Éric Neuhoff, "le film réussit à être à la fois grandiose et intimiste [...]. Xavier Leherpeur : "C'est merveilleux, formidable, sublime pour la beauté du spectacle et une histoire absolument bouleversante. C'est vraiment pointilliste et extrêmement subtil dans sa composition. Chaque dimanche à 20h, retrouvez les critiques du Masque et la Plume, réunis autour de Jérôme Garcin, pour parler cinéma, littérature ou théâtre Dans le même dossier Michel Ciment a lui aussi retrouvé le grand Burton : "C'est un très grand film. Ce contenu n'est pas ouvert aux commentaires. Confinés à l'intérieur et dans les couloirs, il arrive à nous prendre par la main et à avancer de manière complètement dépassionnée. Là, tout est réunit en un film avec une richesse visuelle complètement dingue. Il n'y a aucune surprise et pourtant, c'est très émouvant car on voit la bombe à fragmentation que ce système d'ubérisation induit dans les cellules familiales". Voici une belle fantaisie avec un Dumbo volant dont Tim Burton réécrit l’histoire mais en conservant l’esprit Disney. C'est un film que j'aime vraiment beaucoup [...]. C'est un film sur l’artiste et le cinéaste, une sorte d'autoportrait de Quentin Dupieux en tant que mythomane, mégalomane et fétichiste qui emmène les gens dans sa folie". C'était énorme et, en même temps, quand on lit que c'est une femme de 70 ans qui raconte seule sa peur de la mort et bien, on a envie de dire qu'une solitude bien vécue, ce n'est pas une solitude triste mais heureuse". Burton a été un des très grands cinéastes de la nouvelle génération à Hollywood [...] Il est né avec Disney, ses premiers courts-métrages étaient produits par Disney, il avait fait déjà Alice au Pays des merveilles en prises de vue réelles, et qu'il mélange ici avec une technique phénoménale ! J'avais l'impression de me balader dans une boutique d'antiquaire ou dans un vide-grenier des années 70…, Je sauverai deux beaux moments : son accompagnement de Sandy Pearlman à l'hôpital et, évidemment, Sam Shepard car c'est poignant de douceur. Il indique, par là, un monde meilleur à venir, c'est ça que je trouve extrêmement fort. Chaque dimanche à 20h, retrouvez les critiques du Masque et la Plume, réunis autour de Jérôme Garcin, pour parler cinéma, littérature ou théâtre, PolitiqueInternationalSociétéÉconomieJusticeEnvironnementSport, RockMusiques urbainesMusiques du mondeChanson françaiseSoulÉlectroLes playlistsActualités musicalesConcerts, Bien-êtreSexualitéParentalitéÉducationAmourRecettes de cuisine, Connectez-vous pour retrouver vos favoris sur tous vos écrans et profiter d'une expérience personnalisée. "Mon cousin" (avec Vincent Lindon et François Damiens) : le "Masque & la Plume" s'est ennuyé ! De même que Louis Garrel !". La critique contre les parcs d'attraction est extrêmement virulente, il se dresse aussi contre Hollywood et se pose très clairement du côté des artistes. C'est un film absolument magnifique. Michel Ciment : "c'est sans doute son meilleur film. C'est quelque chose qu'on ne peut pas psychologiser ou comprendre mais qui, par rapport au réel, vous met dans un drôle d'état !". Ces trois portraits d'homme sont inouïs". Charlotte Lipinska a été elle aussi emportée par le film. C'est tous les défauts de la Beat Generation mais sans la poésie de Jack Kerouac et de Allen Ginsberg. Xavier Leherpeur a un bémol : "C'est un bon Woody Allen [...] Je suis presque d'accord avec vous sur énormément de choses : la fluidité, les hommages à la comédie américaine, les citations. Plus d’infos, PolitiqueInternationalSociétéÉconomieJusticeEnvironnementSport, RockMusiques urbainesMusiques du mondeChanson françaiseSoulÉlectroLes playlistsActualités musicalesConcerts, Bien-êtreSexualitéParentalitéÉducationAmourRecettes de cuisine, Connectez-vous pour retrouver vos favoris sur tous vos écrans et profiter d'une expérience personnalisée. Les films en salles : "La Daronne", "Antoinette dans les Cévennes", "Les choses qu’on dit…", "Adolescentes"…, Les derniers livres d'Emmanuel Carrère, François Bégaudeau, Amélie Nothomb, Raphaël Enthoven…. S'abonner. Le reste du livre consiste à se demander comment on vit avec ses morts, comment on leur parle, comment on communique avec eux. Il s'agit de faire un film qui parle du droit à tuer le père et de la possibilité à vivre encore après le père. Rentrée littéraire, "Le temps gagné" de Raphael Enthoven : Le Masque et la plume s'écharpe. Charlotte Lipinska : "C'est un des plus beaux, grands et bouleversants films que j'ai vus depuis des mois. Tout est bien, c'est un film qui vous donne envie d'aller à New-York, de tomber amoureux, d'avoir 20 ans à nouveau. Bientôt séparés, chacun des deux tourtereaux enchaîne les rencontres fortuites et les situations insolites. ► CINEMA | Les différents films à l'affiche passés au crible des critiques du Masque & la Plume sont à retrouver ici. Jean Dujardin est absolument admirable ! Elle Fanning est épatante, elle sait tout faire [...] Le film rebondit sans cesse, d'épisode en épisode. "Il faut avoir l'honnêteté de dire que ce n'est pas grand-chose non plus. "Hotel by the river", "Light Of My Life", "Madre", "Terrible jungle"… Quels films méritent leur ticket ? Il fait une déclaration d'amour au cinéma dont on peut véritablement penser que cet art lui a sauvé la vie. C'est très beau cette façon qu'elle a de montrer l'arrachement à la Terre [...] Je trouve qu'il y a quelque chose comme ça de vertigineux qui est vraiment très beau et qui dépasse de loin le simple féminisme". "On retrouve notre Woody Allen [...] Là, on voit qu'il est un des meilleurs cinéastes au monde, il a un talent fou ! Faut-il aller voir "Adieu les cons", "Drunk", "Parents d'élève", "Michel-Ange", "Last words", "Peninsula" ? Cinéma : faut-il aller voir "Tenet", "Ema", "Police", "Effacer l’historique", "Énorme"… ? Jérôme Garcin, Autour de Jérôme Garcin, une tribune de critiques partagent leur subjectivité et passent en revue les dernières productions artistiques et culturelles. Il rend hommage au premier Dumbo en réinventant des personnages émouvants qu'on n'avait pas vu, tout en attaquant les grands parcs d'attraction. Pedro Almodóvar se dénude complètement émotionnellement, sur ses douleurs physiques, sa solitude, sa dépression et la mélancolie. Xavier Leherpeur le recommande vivement : "Allez-y, courez-y ! Tout cela est dit avec beaucoup de finesse et beaucoup d'étrangeté". Je remarque que mes propres larmes me brûlent les yeux, que je cours moins vite et que ma notion du temps qui passe s'accélère". Lui, il lui dit : "On se croirait dans un roman de Beckett" et, à la fin, elle observe avec justesse d'ailleurs, qu'il ressemble de plus en plus à Samuel Beckett tout maigre. Il y a une partie un peu onirique qui m'ennuie un peu, mais je m'en fiche. On n'a jamais vu ça, c'est d'une profondeur rare cette sorte de lettre d'un fils faite à son père, magnifique et bouleversante, à tel point que tous les pères rêveraient de recevoir une lettre comme cela. Contrairement à ses films précédents, qui faisaient beaucoup appel au trompe-l'œil, au verbe, au romanesque, ici, il décape tout [...] On se retrouve avec une trajectoire qu'il tient jusqu'au bout. Elle visite la maison de Pessoa à Lisbonne. Ces grands classiques du cinéma français que Le Masque ... "Été 85" de François Ozon : un des grands films ... Cinéma classique : Ces comédies dramatiques saluées ... Recevez du lundi au vendredi à 12h une sélection toute fraîche à lire ou à écouter. Nicolas Schaller le tient comme "l'un des meilleurs films de Dupieux. Il s'attelle à bricoler du non-sens dans son coin, sans chercher forcément à raconter quelque chose. Le meilleur du cinéma du Masque et la Plume : ces 9 films qu'il ne fallait surtout pas manquer en 2019. La mentalité mondiale doit beaucoup à Almodóvar qui donne la niaque au désespoir. "Été 85" de François Ozon : un des grands films estivaux à voir d'après "Le Masque & la Plume", Cinéma classique : Ces comédies dramatiques saluées par le Masque & la Plume. Charlotte Lipinska est entièrement conquise par la mise en scène : "Un film sans ornement, entièrement filmé de l'intérieur, dans les couloirs, les bureaux de l'armée, exactement comme l'armée devait l'être à l'époque ! Le film a reçu le Lion d’argent à Venise. Elle aurait pu nous épargner la réalité… J'ai eu l'impression, que c'était un peu vieillot, suranné. Et, à la fin, franchement, ça devient nian-nian. Je trouve que c'est un film parfait où règne une tension constante qui, jusqu'au dernier moment, est tout à fait intense". "Les héros ne meurent jamais" (avec Adèle Haenel) : les avis du "Masque & la Plume". Ça m'a donné envie. Mais non seulement, elle note tout ce qu'elle bouffe, mais en plus, elle fait ce truc qui devrait être interdit : elle raconte ses rêves… Alors là, on n'en peut plus… Elle dialogue avec l'enseigne lumineuse de son motel…. Elle lit Marc-Aurèle. "Elle mange tout le temps, ce qui est d'ailleurs un mystère de la nature : comment cette femme maigre comme un chat grec passe son temps à se nourrir ? Pourquoi, d'après le Masque, "Les Testaments" de Margaret Atwood est-il aussi "décevant qu'opportuniste" . Nommé à la tête du contre-espionnage, Picquart découvre que les preuves contre Dreyfus ont été fabriquées de toutes pièces et découvre qu'il qu'il s'agit d'une erreur judiciaire. Avec Marie-Georges Picquart, on découvre comment on reconstitue une pièce à charge : il y a un côté thriller avec ce que Roman Polanski sait faire de mieux. Ces grands classiques du cinéma français que Le Masque & la Plume vous conseille de regarder ! Tout cela au service d'une histoire absolument bouleversante. Le procédé qui pèche dans le livre, c'est le mélange entre ses rêves et la réalité. Le film prouve vraiment que la cupidité mène au désastre". Il pourrait faire un film flamboyant, et il choisit de prendre le côté de Zola. Chacun a presque "sa lumière", son dialogue, sa psychologie. L'actu du cinéma : les critiques du Masque et la Plume. Et, résultat, on est emportés ! Deux étudiants, Gatsby et Ashleigh, envisagent de passer un week-end en amoureux à New York. ", "Le Daim", "Proxima", "Sorry We Missed You", "Un jour de pluie à New York". Elle s'étonne d'avoir 70 ans au cours de l'année du singe. C'est à la fois Patti Smith, et ce n'est pas elle. Pierre Murat : "C'est très beau, beaucoup plus épuré que certains de ses films mais on retrouve son style [...] dans cet art qui est très personnel de nouer les intrigues presque indépendantes les unes par rapport aux autres et qu'il arrive à relier de façon splendide avec plusieurs univers, plusieurs histoires"... Retour dans l'aventure avec notre légendaire éléphanteau Dumbo, séparé de sa maman et vendu à l’horrible Vandemere. Il a 83 ans et il continue à avoir une jeunesse incroyable. Écoutez l'intégralité des critiques échangées sur le livre : LIRE - "L’Année du singe" de Patti Smith (Gallimard). Festival d'Avignon : souvenirs de la cour d'honneur. En 2016, Patti Smith se balade entre la Californie et l'Australie, New York, Le Portugal, elle aide Sam Shepard - qui va mourir - à finir son ultime livre et elle accompagne aussi dans ses derniers instants Sandy Pearlman qui, quarante ans plus tôt, a fait d'elle une chanteuse. Ce que je trouve beau c'est, rétroactivement, le regard mélancolique qu'il porte sur le XXe siècle.". Le film et l’adaptation de l'enquête sont d'une rigueur à la Fritz Lang ! Il rencontre Adèle Haenel qui incarne une serveuse de bar très cinéphile. Un livre en 17 chapitres qu'autrefois, au début du siècle dernier, on aurait classé dans la catégorie "Mélanges". Je suis fascinée car il traite d'un sujet nouveau qui est à chaque fois totalement en phase avec l'époque dans laquelle il s’inscrit. Pour Pierre Murat, c'est une vraie réussite à l'américaine : "c'est ce qu'ils savent faire. Sophie Avon a trouvé le film "très beau et très habile car la quête du père se transfigure à une quête de soi-même : le personnage a besoin d'en passer par son père, de le rejoindre aux confins du système solaire pour comprendre qu'il ne veut pas lui ressembler et qu'il veut, lui, au contraire, apprendre à aimer et vivre sur Terre". Les cinéphiles sont comblés car il rappelle les grands grands films tels que 2001, l'Odyssée de l'Espace de Stanley Kubrick et Solaris d'Andreï Tarkovski". J'aime beaucoup lorsqu'il tourne des films sur le cinéma. Un vaudeville à la sauce new-yorkaise. Je ne sais pas si c'est un grand film, mais c'est un film que l'on peut voir avec plaisir. C'est un pur plaisir humoristique avec un vrai côté anxiogène, une espèce de torpeur toujours présente. Là, je lui dois de me ré-émerveiller ! Normalement, j'ai horreur de ça dans les livres et, là, j'ai adoré, ce qui est la preuve qu'on est subjectif et qu'on parle de tout ce qu'on aime. Sophie Avon a beaucoup aimé : "Quentin Dupieux se renouvelle complètement, j'applaudis le rôle tenu par Jean Dujardin, ici dénué d'humanité mais dont le caractère absurde prêté au personnage fait tout le charme du scénario. Quentin Dupieux construit une œuvre singulière dans le cinéma français. On est totalement coupé du peuple et de la société qui s'embrase. Ce qui est très beau dans le film, c'est que les trois principaux personnages qui portent plainte sont différenciés. Dieu que c'est grand, immense, beau et fort ! Depuis Fellini, on n'a pas vu un tel imaginaire au cinéma ! Les derniers films de François Ozon, Michaël Youn, Philippe Garrel, Amin Sidi-Boumédiène…. Pour Nicolas Schaller, on plonge dans un espace inédit et gracieux : "C'est un film très intéressant et Eva Green amène cette "physicalité", ce côté très déterminant. C'est presque une forme de manifeste pour l’amateurisme artistique. Imaginez-vous quand même que c'est l'écrivain qui est allée à Stockholm recevoir le prix Nobel de littérature de Bob Dylan. C'est là que le film trouve un équilibre assez miraculeux entre le concret et le côté documentaire avec, toujours, cette note qui regarde ailleurs [...] Ça s'inscrit complètement dans un mouvement du cinéma spatial qu'on avait notamment vu dans "Ad Astra" : ce sont des films où on plonge dans l'espace, dans l'infini, pour se retrouver et se demander ce qu'on doit faire de soi-même [...] Il y a une vraie écriture, quelque chose d'assez miraculeux qui relève de la grâce". Le Meilleur reste à venir est un film réalisé par Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière avec Fabrice Luchini, Patrick Bruel. Écoutez l'ensemble des critiques échangées à propos de ce film : ► Chaque dimanche à 20h, retrouvez les critiques du Masque et la Plume, réunis autour de Jérôme Garcin, pour parler cinéma, théâtre ou littérature. Pour Charlotte Lipinska, Ken Loach est toujours aussi efficace et émouvant : "Ça fait très longtemps que Ken Loach fait du cinéma, le monde a depuis énormément changé, et, pourtant, son cinéma ne bouge pas d'un iota. J'adore Patti Smith, j'ai adoré le premier livre sur sa jeunesse. Ce qui est toujours très bien chez Woody dans les comédies, c'est la fatalité du bonheur qui se met à la place de ses personnages et rend la vie absolument supportable. Un film de 2h15 qui s’ouvre par un plan œcuménique et céleste même si la suite s'assombrit. Cinéma : "Ondine", "Stripped", "Les Apparences", "Blackbird", "Eléonore", "Boutchou", quel film aller voir ? ► LIVRE OUVERT | Toutes les autres œuvres passées au crible des critiques du Masque et de la Plume sont à retrouver ici. Rien que pour cette phrase-là, on a envie de l'embrasser. Quant à la dernière réplique de ce film, il n'y a pas plus beau, plus simple, plus déchirant, consolateur et créatif !". Le rôle d'Adèle Haenel est également totalement orignal". Il a fallu qu'un des plus grands cinéastes au monde prenne ce sujet en main pour le traiter [...] 500 000 personnes sont allées le voir en une semaine. Sarah (Eva Green), une astronaute française, a été sélectionnée pour effectuer une mission d’un an, dans l'espace. Georges (Jean Dujardin) est un quadragénaire qui plaque tout pour s'offrir un blouson en daim à franges. Pour Charlotte Lipinska, le film est totalement réjouissant, accompagné d'une subtilité avec laquelle est exprimée la folie du personnage : "J'ai adoré la façon dont il aborde la folie : les névroses du personnage sont nées d'une extrême solitude, avec une mise en scène extrêmement sèche et précise. films à l'affiche passés au crible des critiques du Masque & la Plume sont à retrouver ici. C'est un film qui se raconte plus qu'il ne s'analyse. This is the French edition of Year of the Monkey, wonderfully translated by Nicolas Richard and published by Gallimard. Je suis toujours étonné. "Les grains se déversent et je remarque que les morts me manquent plus que d'habitude. ... Recevez du lundi au vendredi à 12h une sélection toute fraîche à lire ou à écouter. Bob Dylan l'a envoyée recevoir son prix Nobel de littérature. Le meilleur du cinéma du Masque et la Plume : ces 9 films qu'il ne fallait surtout pas manquer en 2019. Guillaume Musso, Rudyard Kipling, Ian McEwan, Anne Serre… Quels sont ceux à ne pas manquer cet été ? Le Masque et la Plume. En cliquant sur « je m’abonne », j’accepte que les données recueillies par Radio France soient destinées à l’envoi par courrier électronique de contenus et d'informations relatifs aux programmes. Autour de Jérôme Garcin, une tribune de critiques partagent leur subjectivité et passent en revue les dernières productions artistiques et culturelles. C'est plus "douleur" que "gloire" mais il y a en même temps une résilience extraordinaire. Je l'idolâtrais quand j'avais 15 ans et que je chantais Rock and Roll Nigger, c'était la chanteuse de rock par excellence punk. Xavier Leherpeur : "C'est un film d'une grande intelligence [...] et tout ce que le scénario apporte, la mise en scène va le parachever, le continuer avec beaucoup de subtilité (Il n'y a aucune démonstration, aucune accusation)". Jean Dujardin habite vraiment son personnage sans faire d'efforts. Jean-Marc Lalanne : "J'admire la puissance d'observation de Ken Loach, la précision de ses critiques et la façon dont il sonde les évolutions de son grand ennemi qu'est le capitalisme, et la capacité d'en comprendre les derniers avatars, c'est assez fort [...]". Michel Ciment admire l’adaptation cinématographique de l'affaire : "C'est le film qu'on attendait tous depuis cent ans ! "Le film présente une économie de dialogues très parlante. J'admire comment est filmée la désolidarisation des enfants par rapport aux parents. Jean-Marc Lalanne en est sorti les larmes aux yeux : "C'est un film extrêmement profond et bouleversant. C'est d'une splendeur ! Lola Lafon, Camille Laurens, Alice Zeniter, Grégoire Delacourt et Erri de Luca font leur rentrée littéraire, Cinéma : les nouveaux films de Méliane Marcaggi, Werner Herzog, Marion Laine, Haifaa Al-Mansour…, Rentrée littéraire avec Sarah Chiche, Éric Reinhardt, Isabelle Carré, Simon Liberati, Éric Laurrent. C'est d'une beauté incroyable, on est scotché dans son fauteuil. Écoutez l'intégralité des critiques échangées à propos de ce film : Antonio Banderas est Salvador Mallo, à travers lequel Almodóvar raconte son enfance pauvre dans la province de Valence, sa passion pour les livres, sa découverte du cinéma, du désir homosexuel, son addiction à l’héroïne, ses maladies, ses rapports de cinéaste. Xavier Leherpeur : "Je suis fasciné par la mise en scène. C'est après Just Kids et Dévotion, le nouveau livre de la chanteuse rock, Patti Smith, traduit par Nicolas Richard chez Gallimard. C'est incontestablement original. "L’Année du singe" de Patti Smith : Le Masque & la Plume partagé. Ces auteurs à retrouver en librairie : Michel Houellebecq, Patti Smith, Simone de Beauvoir…, Films : quelques classiques avec John Carpenter, Jean-Pierre Melville, Pasolini, Sydney Pollack…, Livres : les nouveaux opus de Ken Follett, Fatima Daas, Julian Barnes, Hervé Le Tellier, Muriel Barbery. Critique - Pourquoi "Une partie de badminton" d'Olivier ... Pourquoi, d'après le Masque, "Les Testaments" de ... Recevez du lundi au vendredi à 12h une sélection toute fraîche à lire ou à écouter. Écoutez l'intégralité des critiques échangées à propos du film : Adapté du roman de Robert Harris, nous retrouvons Louis Garrel dans le rôle d’Alfred Dreyfus, et Jean Dujardin dans le rôle du colonel Picquart depuis la scène de la dégradation en 1895 à sa réhabilitation en 1906. Charlotte Lipinska estime que "c'est un des plus grands films français de l'année, parvenant merveilleusement à mêler l'intime et le politique. Alexandre découvre que le prêtre qui a abusé de lui aux scouts officie toujours auprès d’enfants. I love this edition, such great design and am proud to have been welcomed in the Gallimard family. "Nickel Boys" de Colson Whitehead : qu'en pensent les critiques du "Masque & la Plume" ? Les passages sur Shepard sont d'une beauté… Elle vient l'aider à finir son manuscrit. Elle s'effraie de l'élection de Trump, "l'insupportable escroc aux cheveux jaunes". Je retrouve le grand Burton que j'aime. Et à un moment, elle le dit comme une petite litanie : "Mon mari est mort, mon frère est mort, mon père est mort, ma mère est morte et pourtant, je crois toujours que demain, il peut se passer quelque chose de merveilleux". On voit la pesanteur de l'administration, la folie de l'armée. Cinéma : Que valent "Tout simplement noir", "Jumbo", "les parfums", "The King of Staten Island"… ?

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