skieur de fond français connu

skieur de fond français connu

Comme ils disposent d'un temps de reconnaissance restreint, ils doivent savoir mémoriser rapidement tous les paramètres techniques de la course. Le bâton est un élément déterminant dans la pratique du ski, même si, pour le débutant il s'avère parfois gênant et inutile. Un apogée consacré par les Jeux olympiques d'hiver de 1968 à Grenoble, marqués par les victoires de Jean-Claude Killy en descente, slalom et géant et de Marielle Goitschel en slalom, la skieuse de Val d'Isère ayant auparavant déjà enlevé plusieurs titres mondiaux et olympiques en 1962, 1964 et 1966. Depuis peu, la FIS s'est penchée sur le cas des courses de masse ou ski marathon, ainsi en 1999 elle décide de se coordonner avec la Worldloppet, cette dernière créée dans les années 1970 met en lumière ces courses longues distances telles que la Vasaloppet (Suède), la Transjurassienne (France) ou la Birkebeinerrennet (Norvège) suivant un calendrier. Ce ski de fond de randonnée utilise des skis, connus aussi sous l'appelation fjellskis, plus fins et plus longs que les skis de randonnée nordique dont ils sont très proches. Dans le sport de haut niveau, les compétiteurs possèdent plusieurs paires de ski avec des combinaisons de fartage différentes leur permettant ainsi de faire le meilleur choix adapté aux conditions avant le départ de la course. Ainsi, dès l'après Grande Guerre, Lunn met en place dans les Alpes les premiers championnats britanniques de ski alpin, « sous le regard incrédule des autochtones »[1]. La Streif est une piste extrêmement exigeante techniquement et physiquement, sur laquelle seule une descente hommes est organisée. Dans les années 1980, le ski freestyle portait le nom de ski acrobatique. Des virages larges, des sauts, des compressions et de grandes lignes droites dessinent le parcours en fonction du modelé du terrain. Le principe de gravir un sommet pour le descendre à ski le plus rapidement possible a été imaginé à maintes reprises au fil des années : Le ski alpin est ensuite organisé comme un véritable sport par un anglais[1], Arnold Lunn, qui fait des premiers essais en 1897 à Chamonix alors qu'il n'a que dix ans[2]. Ces courses de masse, réunissant des milliers de participants, se disputent sur des distances allant de 40 à 90 km. Le ski alpin est un ensemble de disciplines du ski qui se pratiquent dans un contexte de loisirs (ski de piste ou hors-piste) ou de compétition (slalom et épreuves de vitesse).Dans ce dernier cadre, c'est un sport olympique depuis 1936, alors que les championnats du monde sont organisés depuis 1931 et que l'annelle Coupe du monde est née en 1967. Enfin, il est aussi à l'origine de grandes découvertes dans des milieux jusque-là peu accessibles comme le Groenland. Le dénivelé est de l'ordre de 800 à 1 100 m pour les hommes et de 500 à 800 m pour les femmes, des portes sont très larges, matérialisées par deux banderoles soutenues par des piquets. Depuis 1924 et la création des Jeux olympiques d'hiver, le ski de fond y a toujours été programmé avec, lors des JO de 2006, douze épreuves distinctes, il s'agit de l'évènement le plus important de cette discipline qui a lieu tous les quatre ans. Comme son nom l'indique, le parcours d'un slalom géant est plus long que celui d'un slalom. Le ski se compose de trois parties : l'avant du ski ou spatule, l'arrière du ski ou talon, le milieu du ski (sous les chaussures) ou patin. La dernière modification de cette page a été faite le 19 mai 2021 à 21:47. De même, le fameux « Premier concours international de sports d'hiver » organisé à Montgenèvre du 10 au 12 février 1907 par l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) ne concernait que le ski nordique[4]. Sans un réglage en longueur adéquat, la fixation même réglée dans la norme ne pourra fonctionner. Le skieur qui obtient le meilleur temps additionné des deux manches l'emporte. Cette épreuve permet de mettre en valeur les skieurs polyvalents qui savent jouer de leur vitesse dans la descente et rivaliser d'adresse et de technique dans le slalom. Elle doit néanmoins permettre la flexion. un chausson : inséré dans la coque, il assure le confort du skieur. Cette construction répartit le poids du skieur sur une plus large surface de contact et, en retour, permet une plus grande portance dans la poudreuse. Les parcours de slalom sont les plus courts, mais ils comportent le plus grand nombre de portes et les portes les plus étroites. Bruno Dumons, Gilles Pollet et Muriel Berjat. La fréquentation est la plus forte dans les Alpes du nord (environ la moitié des journées-skieurs), le Jura (20 %), et les Pyrénées (10 %). Les premières écoles de ski alpin sont mises en place en Suisse et en Autriche au début des années 1930[6] et le monde germanique - Allemagne, Suisse et surtout l'Autriche, avec sa Mecque de l'Arlberg - domine sans rival le ski alpin jusqu'au milieu des années 1930. Dans la grande tradition britannique, ces épreuves sont réservées aux seuls Britannique. Il n'est pas autorisé de se déchausser durant la course, et le changement de ski n'est autorisé que sur casse, sauf lors de certains formats d'épreuve (par ex. Lunn peut ainsi organiser la première édition des championnats du monde à Mürren en 1931 sous l'accord de la FIS. Elle intégra au cours de son histoire l'Arlberg-Kandahar et les autres « Classiques » comme le Lauberhorn de Wengen, dans l'Oberland bernois suisse ou le Hahnenkamm de Kitzbühel, dans le Tyrol autrichien. Le ski est évidemment l'élément essentiel puisqu'il est l'intermédiaire entre le skieur et la neige et par conséquent permet au skieur de glisser. Les arbres sont protégés par de grandes bâches, on utilise aussi des filets qui sont placés tout le long de la piste. Les chaussures de ski peuvent être munies de coques plus ou moins rigides que le skieur choisit selon son style de ski ainsi que son niveau. Cette dernière est à présent réservée aux sportifs ou pratiquants jeunes et motivés, car la rééducation est longue et l'opération assez lourde. nécessaire] Plus tard Arnold Lunn met en jeu le Earl Robert of Kandahar Trophy en 1911 à Montana en Suisse à l'occasion d'une spectaculaire et sympathique course en ligne partant de la Plaine Morte.[réf. Les pays nordiques se montrent moins catégoriques et autorisent la création de compétitions tests, mais sont toujours hostiles à l'admission du ski alpin au programme olympique. Ils peuvent faire appel à des écoles de ski (École du ski français, École de ski internationale) pour apprendre les rudiments du ski (ski évolutif) ou pour se perfectionner (carving, etc) dans le cadre de cours collectifs ou particuliers sous la direction de monitrices et moniteurs diplômés. Le bâton ne doit pas être trop court ni trop long. Dans les années 1960-1970, les États-Unis vont prendre le relais de la France en termes d'innovation : Dans les années 1980, les skieurs et skieuses suisses ont remporté de nombreuses courses. Le combiné était à nouveau redevenu une épreuve indépendante lors des Mondiaux de Schladming, en Autriche, en 1982. Elle possède un système de ressorts permettant au skieur de déchausser (la chaussure n'est plus liée à la fixation) en cas d'effort arrière ou avant latéral. Les normes permettent un réglage personnalisé en tenant compte : Ces trois éléments permettent d'obtenir selon le sexe un indice de réglage qui doit être modifié pour tenir compte : Le réglage d'une fixation est donc un compromis subtil de 8 paramètres pour que la chaussure tienne au ski sans que cela devienne dangereux en cas de chute. Grâce à ses succès sportifs, la France est un modèle pour le monde entier : « Son retentissement est tel que l'Amérique du Nord (et aussi celle du Sud) ont principalement recours aux français pour créer et équiper leurs stations ainsi que pour mettre au point leurs écoles de ski. La saison du ski de fond tourne autour d'évènements incontournables sur différents formats. En biathlon notamment, les grandes équipes internationales bénéficient de structures chargées spécialement du travail de fartage et de l'entretien des skis et qui les suivent tout au long de la saison de ski (Coupe du Monde, championnats du Monde, etc). En 1982, la FIS créé la Coupe du monde sur le modèle de la Coupe du monde de ski alpin où diverses courses (sprint, poursuite, individuel, relais) ont lieu tout au long de la saison hivernale et permettre qu'un classement soit établi. Parallèlement, les courses longue distance (courses de masse) s'organisent pour mettre un calendrier où chaque épreuve puisse être reconnue (Worldloppet), à partir de 1999 la Worldloppet et la FIS décident de coopérer pour mettre en place la coupe Marathon. En compétition, le choix du bon fart fait l'objet de nombreux essais sur le terrain avant la course proprement dite. Le ski de fond requiert différentes techniques de progression, de virage, de montée et de descente. Son aspect pratique va alors laisser la place à l'aspect sportif et ludique avec la mise en place de compétitions à partir de 1843 en Norvège puis 1877 en Suède et 1879 en Finlande. parus en Australie ou au Nevada où des épreuves de « descente libre » servant aussi de support pour des paris ont eu lieu entre des mineurs norvégiens travaillant à Virginia City.[réf. Afin de pallier cette carence, la FIS a soutenu lors de son Congrès de Beyrouth le projet de la Coupe du monde lancé en août 1966 par Serge Lang et ses amis, dont l'ancien Président Marc Hodler, lors des Championnats du monde de Portillo. Lors des compétitions, le port de ce casque est obligatoire et les skieurs participant à des épreuves de haut niveau peuvent être équipés de combinaisons collantes à la peau. Malheureusement, seul le ski nordique y est présent. Elles sont plus hautes, montant une dizaine de cm au-dessus de la cheville, en intégrant une coque permettant le maintien latéral de la cheville. Les chaussures de ski permettent au skieur de contrôler ses skis. La mise en service a été réalisée en février 1936. Il faudra attendre 1929 pour assister aux premiers championnats d'Autriche ; 1930 en Suisse[3] et 1931 en France[1]. En 1928, la première « Classique » du ski alpin, l'Arlberg-Kandahar eut lieu à Sankt Anton am Arlberg, sous l'autorité d'Arnold Lunn et de son ami Hannes Schneider. Pour simplifier, sa structure peut se résumer à : Bien qu'il ne fasse pas partie du matériel indispensable à la pratique du ski alpin, le casque est devenu un élément d'équipement largement adopté par les pratiquants de tous âges et de tous niveaux. À cette époque, alors que le ski alpin apparaît, la FIS ne reconnaît que le ski de fond alors sous l'appellation de "Ski", seule la technique du « pas alternatif » (classique) étant alors identifiée. Les slalomeurs ont besoin d'être agressifs, rapides et agiles. Cette possibilité a été reprécisée et étendue par la loi du 14 avril 2006[9], qui a modifié le Code général des collectivités territoriales[10]. Il s'apparente très grossièrement à la marche : on prend son appui sur un pied afin de propulser le corps en avant, puis on passe à une phase de glisse sur le ski opposé. La technique française est popularisée par : La France innove également en matière de matériel : Abel Rossignol invente le ski contrecollé (1936) et le ski lamellé contrecollé (association de lames de bois par collage de bois dur, léger et souple: frêne-sapin ou frêne-bouleau ou frêne-hickory) (1945). Il faut remonter jusqu'en 1880 pour voir apparaître les premiers skis conçus pour la descente, et, inventés par les Norvégiens, aussi inventeurs du Télémark. Quand un ski possède une taille de guêpe, on dit qu'il est profilé. Ce pas permet de monter à une vitesse faible, en utilisant peu de force, et est donc particulièrement utilisé par les débutants. C'est alors plus une épreuve de style que de vitesse[1]. Le ski est d'ailleurs introduit dans l'armée au tout début du XXe siècle. La moitié environ des communes concernées offrent également une activité de ski alpin. Généralement en polyéthylène, elle est rainurée dans le sens de la longueur pour permettre à la neige fondue de s'évacuer plus rapidement et ainsi d'accroître la vitesse du skieur (skis d'ancienne génération, skis droits). Il est indispensable que le réglage soit fait en tenant compte des normes selon les critères ci-dessus. Le ski de fond se décline en une version "randonnée" pratiquée essentiellement par les Norvégiens. Ce sont des courses contre la montre, le skieur déclenche lui-même le chronomètre par l'ouverture d'un portillon et l'arrête au franchissement d'une cellule photo-électrique. Souvent fabriqué à partir de composite époxy renforcé de fibres de verre, il permet de protéger le cœur du ski et joue un rôle décoratif (sérigraphie). Le ski de fond devient alors l'un des sports les plus populaires des pays scandinaves. Ses parcours sont les plus longs des épreuves de ski alpin. Les portes sont matérialisées par deux piquets simples, mais les piquets, montés sur rotule, peuvent être basculés par le skieur. Durant la saison 1988-1989, Vreni Schneider gagnait 14 courses, record inégalé. Le ski profilé est maintenant l'outil de choix pour une vaste gamme de terrains et d'adeptes : le débutant aimera la facilité avec lequel celui-ci se manœuvre dès les premières descentes, alors que l'expert appréciera sa polyvalence et sa rapidité de mouvement, même à grande vitesse. L'État français met en œuvre le « Plan neige » (1961 à 1971) pour développer le tourisme de montagne. ISOSKI). Provenant des pays scandinaves (la Norvège en grande partie), le ski alpin est un dérivé du ski nordique. Parmi celles-ci, on peut mentionner pour l'Europe : Les stations de ski de fond sont au nombre de 180 environ en France, dans les massifs montagneux. La France a pris une initiative intéressante en introduisant une distinction homme/femme dans les préconisations de réglage[15]. Par exemple, un skieur de 170 cm prendra des bâtons de 140 cm en style classique et de 150 cm en skating. 15 mai 2021 à 20:25. Les titres et les médailles d'or reviennent à Franz Pfnür et Christl Cranz (Allemagne). Il faut patienter jusqu'en 1931 et les premiers championnats du monde de ski Alpin (organisées en Suisse par Arnold Lunn) pour faire adopter les épreuves alpines à la Fédération internationale. Il est plus efficace pour obtenir des vitesses élevées que le « deux temps », car on donne une poussée de bâtons à chaque changement, ce qui permet d'avoir un temps de glisse plus long. Fixation de ski alpin (talonnière à gauche, butée à droite), L'émergence de l'école française de ski (1937-1950), La domination française sur le ski alpin (années 1960), La mondialisation du ski (depuis les années 1970), La domination suisse du ski alpin des années 1980, Cette discipline fut déjà pratiquée en compétition amicale à la fin du. J'ai regroupé pour vous de 9 520 biographies en français dans des domaines aussi variés que l'histoire, la musique, le cinéma ou la littérature. Le premier champion olympique de la discipline fut le Français Franck Piccard. Les skis de fond de randonnée ou fjellskis, Spécificités physiologiques du skieur nordique, http://www.glissenordic.com/faq_fr_19.html, http://www.glissenordic.com/faq_fr_14.html, Code général des collectivités territoriales, Article L2333-81 et suivants, Résultats de la saison nordique 2013/2014, Nordic France, organisme représentant de la filière nordique depuis la Loi Montagne, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ski_de_fond&oldid=183063846, Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Aujourd'hui, les descendeurs atteignent dans leur course des vitesses de pointe de plus de 140 km/h. En effet, le ski ne glisse pas directement sur de la neige, mais sur l'eau qui résulte de la fonte de la neige au contact du ski. Le pas tournant : mouvement qui permet de changer de direction par une succession de déplacements d'un ski ramené parallèlement à l'autre par transfert de poids. Les doublés à l'arrivée n'étaient pas rares. Au XIXe siècle, le ski est importé en Europe centrale par l'intermédiaire des étudiants norvégiens, ainsi que sur le continent nord-américain avec certains émigrants. Néanmoins, son aspect saccadé nuit à la vitesse, et ce pas ne peut être utilisé sur des parties descendantes ; la poussée simultanée ou « double poussée » qui consiste à pousser avec les deux bâtons simultanément en gardant les skis parallèles. Depuis plusieurs décennies, le nombre d'adeptes est en augmentation au Japon et en Amérique du Nord. Le nombre de jours d'ouverture des stations est très variable selon les massifs et les saisons. Ils sont particulièrement adaptés aux hauts plateaux norvégiens[12]. Aux championnats du monde de ski alpin de Portillo (Chili) en 1966, l'Équipe de France de ski alpin remporte 16 médailles sur 24. Parmi celles-ci, on peut citer : Au Québec se déroule notamment le Boréal Loppet. Le ski est généralement 3 à 10 % (ou 5 à 10 cm) plus grand que le skieur. Le ski s'est extraordinairement complexifié au fil des années pour aboutir aujourd'hui à une forme et à une structure de haute technologie. Elle nécessite un entretien régulier pour améliorer la glisse (entretien de la semelle et fartage). Le maintien de la cheville y est moins important et ces chaussures sont montantes surtout pour éviter que de la neige rentre dans la chaussure. Trop long, il devient gênant. Incontournable en bivouac, elle est, a minima, gage... actu. Le ski classique est en général 30 cm plus grand que le skieur. Pour cela, la chaussure de ski est composée de : Pour que la chaussure soit maintenue dans la fixation, une protubérance de plastique est moulée dans la coque à l'avant et au talon de la chaussure. Un casque est parfois porté pour protéger la tête des impacts entraînés par une collision avec la neige, d'autres skieurs ou des obstacles ou encore pour améliorer l'aérodynamisme. Un réglage trop souple peut aussi être dangereux puisque la fixation va s'ouvrir de manière intempestive et peut provoquer la chute du skieur avec un risque de blessure. Le ski freestyle est un ensemble de disciplines du ski alpin, acrobatiques. Ce n'est que dix années plus tard qu'apparaît la première véritable école de ski à Sankt-Anton en Autriche, ce qui entraîne en même temps, la naissance du slalom. Parmi les autres initiateurs du ski alpin, citons l'Autrichien Mathias Zdarsky qui publia en novembre 1896 un ouvrage de techniques de ski dans lequel il reprend essentiellement les anciennes techniques norvégiennes (ski de fond et Télémark principalement) sur le modèle de l'ouvrage À ski à travers le Groenland du Norvégien Fridtjof Nansen, publié en 1888. De ce fait de nombreuses chutes, voire parfois des chocs ou efforts violents sans chute, entraînent une lésion au genou, touchant les ligaments (entorse, 30 % des accidents de ski[17]) et plus particulièrement le ligament croisé antérieur, LCA, pouvant aller jusqu'à la rupture (12 %[17]).Les déchirures du tendon d’Achille et les commotions cérébrales sont aussi très fréquentes. La fixation est aujourd'hui un composant capable de supporter les contraintes subies par le ski tout en étant en mesure de déchausser en cas de chute. L'application régulière d'un fart de glisse contribue également à l'entretien de la semelle du ski. Des stages de freeski sont organisés par certaines écoles de ski, notamment à l'attention des plus jeunes. Utilisez l'alphabet ci-dessus et selectionnez l'une des 19 771 célébrités référencées par mes soins. Le nombre de journées-skieurs est environ de deux millions par saison sur les deux derniers hivers 2012-13 et 2013-14, après un minimum de 1,3 million pour l'hiver 2006-07[11]. En 1955, Georges Salomon, qui fabrique des carres vissées, invente la fixation de sécurité pour Émile Allais : « la Skad »[14]. Le Norvégien Birger Ruud, un sauteur, établissait le meilleur temps dans la manche de descente devant Pfnür qui dominait le parcours de slalom. Ce pas est particulièrement adapté aux montées si elles ne sont pas très raides. La rupture du LCA touche environ 15 000 skieurs par an en France (surtout des femmes) mais ne nécessite plus obligatoirement une opération suivie d'une longue rééducation. Là encore, différents pas sont possibles[2] : Le patineur peut Parmi les innovations techniques importantes : Bien que le ski soit arrivé très tôt dans les Alpes françaises, l'émergence du ski alpin comme une discipline sportive à part entière et autonome sera lente en France alors qu'elle était déjà très populaire dans les Vosges alsaciennes qui faisaient alors partie de l'Empire Germanique après la guerre de 1870. Il est néanmoins très fatigant, car seule la force des bras, du torse et des abdominaux est utilisée. Pour bénéficier des installations du domaine skiable, les amateurs de ski de piste doivent s'acquitter d'un droit d'accès contre remise d'un forfait (plusieurs formules selon les stations : journée, séjour, ski nocturne, etc). Ce pas est généralement utilisé sur les parties montantes, car il permet d'utiliser toute la force du corps (bras, torse et jambes). Il s'exécute sur le plat ou en descente parfois à vitesse élevée, avec ou sans l'aide des bâtons. Les compétitions sont organisées par la Fédération internationale de ski (FIS, fondée en 1924) et le ski alpin a fait ses débuts olympiques lors des Jeux olympiques d'hiver de 1936. En style libre, tous les mouvements sont autorisés. La norme internationale est l'ISO 11088. Un réglage trop serré est dangereux puisqu'en l'absence de déclenchement, le skieur pourra se blesser au niveau du membre inférieur. La FIS reconnaît cette technique et autorise sa pratique en compétition, enfin les stations de sports d'hiver développent alors leurs infrastructures pour que chaque technique puisse être pratiquée. 50 km, ou course de skiathlon combinant successivement les styles classique et skating, avec changement volant de skis et bâtons à mi-épreuve). Le ski de skating est recouvert sur toute sa longueur, alors que la chambre à fart d'un ski de classique ne doit jamais être recouverte d'un fart de glisse. Les deux types de ski (classique et skating) doivent être recouverts d'un fart de glisse afin d'améliorer leurs performances. C'est la technique qui est enseignée aux débutants ; le pas « un temps » : c'est le pas pour le plat ou les faux plat montant ou descendant. Ce sport n'est réalisable qu'en présence de remontées mécaniques et de pistes entretenues, identifiées sur le terrain selon leur difficulté et supervisées par les pisteurs-secouristes. des crochets : fixés à la coque, généralement au nombre de quatre, ils permettent de serrer la chaussure de ski. Dans le cadre de la St-Valentin (mais ça aurait pu aussi être dans une étude sur la poésie, à la fête des mères ou des pères, dans une thématique d’amitié…), suite à la lecture de l’album Amour (Matt de la Peña, D’eux), nous avons réalisé une écriture partagée. La France conserve alors une avance technique dans le domaine du ski alpin. Situées de chaque côté du ski, elles permettent de le contrôler sur la neige. On y enseigne au départ la méthode de l'Arlberg. L'épreuve officielle comporte maintenant deux manches, disputées sur deux parcours différents. Elles doivent épouser et serrer les pieds sans les comprimer et, ainsi, doivent pouvoir transmettre les mouvements des jambes et des pieds avec précision. Cette motion est repoussée en raison d'une opposition catégorique des pays nordiques[5]. le noyau. le pas « deux temps »  : c'est le pas standard du skating qui se compose d'une poussée de bras pour deux poussées de jambe. La fixation est composée de deux parties : Des aides électroniques au réglage existent (ex. la fixation avant (butée). Il est considérée comme étant un sport extrême. Elle est au contact de la neige et permet donc au ski de glisser. L'épreuve comporte deux manches disputées sur des parcours différents. Ce chiffre a peu varié depuis vingt ans (en euros courants), sauf au cours des hivers très peu enneigés (cinq millions d'euros en 2006-07). Le vainqueur est celui qui réalise le temps le plus rapide. Les mesures de sécurité ne cessent de s'accroitre depuis la fin des années 1950. La dernière modification de cette page a été faite le 29 avril 2021 à 11:49. Le Français Michel Vion et la Suissesse Erika Hess s'y imposèrent alors. Les portes sont également plus espacées, ce qui donne des virages plus larges. La pratique du ski de piste est fondamentale pour acquérir les bases qui permettront, ultérieurement, de découvrir d'autres disciplines comme le ski hors-piste, la randonnée à ski, les disciplines acrobatiques ou le ski de compétition. On désigne de plus en plus souvent par le terme d'origine suédoise de « loppet » ces grand-messes du ski nordique, « loppet » signifiant « course » en suédois. Cette offre de pistes se répartit entre les massifs, dans l'ordre : Alpes du nord (37 %), Jura (24 %), Massif Central (15 %), Alpes du sud (11 %), Pyrénées (8 %), Vosges (5 %)[7]. De plus, la poussée de bâtons est généralement effectuée légèrement avant la poussée de jambe, ce qui convient bien mieux aux vitesses élevées. Certaines épreuves ont été organisées en centre-ville comme Munich (en 2007) et Prague (en 2008) avec succès. La structure d'un ski varie beaucoup d'un constructeur à l'autre, il est donc difficile d'en faire une description précise tant les constructeurs rivalisent d'imagination et de recherche pour améliorer son poids, sa rigidité, son rayon etc.

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