régiment le plus décoré de france
Dans une poursuite acharnée, s'est distingué par son mordant et son âpreté au combat, bousculant les arrière-gardes ennemies de jour et de nuit. Continuant la poursuite, est arrivé au bord de la rivière sur les talons de l'ennemi, l'empêchant réalisant ainsi une avance de 10 kilomètres, faisant plus de 100 prisonniers, s'emparant de 2 canons et d'un matériel considérable. Ce régiment s'est illustré d'abord en Lorraine, à Morhange, le 20 août 1914, puis à l'attaque de Chuignes, de Fontaine les-Capy, le 25 septembre 1914. « Sous le commandement du lieutenant-colonel Clavery, engagé depuis six jours dans des conditions très dures qui lui avaient valu des pertes sensibles, s'est lancé à l'attaque, le 18 juillet 1918, avec une fougue merveilleuse| a enlevé tous ses objectifs, s'emparant, dans les journées des 18 et 19 juillet de 200 prisonniers et 28 canons. Le 9 mai en Artois, conquiert les Rietz et Neuville-Saint-Vaast. — Ordre général n°69 de la 1re armée en date du 14 juillet 1918, combats d'avril 1918 dans la Somme (Villers-Bretonneux). », — Ordre général n°347 de la 10e armée en date du 10 novembre 1918, combats du 2 au 16 septembre 1918 dans l'Aisne (Vauxaillon et Allemant), « A enlevé en moins de quatre heures, sous l'énergique commandement de son chef, le lieutenantcolonel Dufoulon, deux puissantes lignes successives ennemies contre lesquelles de nombreuses attaques antérieures s'étaient brisées, faisant 1 285 prisonniers, 30 officiers dont 3 officiers supérieurs. « Rude et glorieux régiment qui s'est couvert de gloire au cours de la campagne et notamment à Verdun. — Ordre général n°342 de la 10e armée en date du 22 septembre 1918, combats du 18 juillet 1918 dans l'Aisne (Vierzy). Sa fille assistait également à cette cérémonie. Chargé, les 26, 27, 28 et 29 septembre 1918, de la conquête de la puis du plateau de Grateuil et des pentes au sud de Marvaux, a progressé sans arrêt, manœuvrant avec autant de science que de vigueur, les obstacles objectifs et capturé, au cours de cette avance de 11 kilomètres, 838 prisonniers dont 21 officiers, 29 canons, 12 minenwerfer et de nombreuses mitrailleuses. Toutefois, on lui prête les propos suivants : « La France a fait ma fortune, il est normal que je la défende. A tenu pendant onze jours consécutifs nuit et jour, en terrain découvert sans relève possible sous un effroyable bombardement de tous calibres, un secteur dont elle n'a pas perdu un pouce et dont elle ne sortait que pour tenter des contre-attaques en vue d'arrêter l'offensive ennemie. Le 15 juillet, il engage, devant Fleury, la magnifique contre-offensive qui se poursuivra ensuite sans arrêt jusqu'au 15 décembre 1916, date à laquelle dans un élan splendide, il rejette définitivement l'ennemi en Woëvre, au-delà du Bois la Chaume. Entré des premiers à Mulhouse, s'est distingué par la suite dans les Vosges, à la Fontenelle et à l'Hartmanswilletkopt. — Ordre général n°11333 de la 4e armée en date du 8 novembre 1918, combats des 26 septembre au 15 octobre 1918 en Champagne, entre la butte de Tahure et Voncq (Ardennes). Dans la Somme, le 4 juillet 1916, sous les ordres du lieutenant-colonel Cot, après avoir franchi un glacis de 800 mètres, fauché par les mitrailleuses, a conquis à la baïonnette Belloy-en-Santerre et l'a gardé, malgré un bombardement intense, contre les efforts violents et répétés de l'ennemi. À peine reformé, comprenant un bataillon de jeunes indigènes qui n'avaient jamais vu le feu, a, sous les ordres du lieutenant-colonel Mensier, été engagé du 2 au 16 septembre 1918, dans des conditions exceptionnellement dures. A eu successivement à réduire la résistance de nombreux ennemis dans une région tourmentée et boisée, à manœuvrer pour encercler un village organisé et pourvu d'une garnison nombreuse et à réduire cette dernière. Malgré la fatigue et les pertes, a mené trois attaques successives avec l'allant et l'enthousiasme qui le caractérisent et réussi à arrêter et à refouler l'ennemi, faisant des prisonniers et prenant des mitrailleuses. Sources : Histoire de la milice françoise par le RP Daniel. », — Ordre général n°529 de la 6e armée en date du 13 novembre 1917,combats des 23 au 25 octobre 1917 dans l'Aisne (fort de la Malmaison), « Pendant les opérations récentes, sous les ordres du Lieutenant-colonel Dufoulon, a combattu sans répit des forces supérieures et constamment renouvelées. Le début du xxe siècle connaît l’essor de la traction automobile avec les premiers engins d’incendie électrique et à pétrole. Le 11 juillet 1916, dans la Somme, ils se distinguent encore devant Belloy-en-Santerre. 4 ou 5 citations donnent droit au port de la fo… Fontevraud l Abbaye. « Régiment d'élite qui a montré une fois de plus qu'on pouvait entièrement compter sur lui. Après avoir surmonté dès le début les résistances opiniâtres de l'ennemi, a atteint son objectif et s'y est maintenu malgré de violentes contre-attaques. Régiment d'élite, toujours fidèle à ses belles traditions d'héroïsme. 1914 : Retraite de Charleroi Fosse-à-l'Eau, le Châtelet. « Régiment d'attaque de premier ordre qui, pendant les journées du 29 au 31 mai 1918, a soutenu les plus durs combats contre un ennemi nombreux et ardent. A pris, au cours de ces opérations, un ascendant moral incontesté sur l'ennemi, contrôlé par les déclarations des habitants libérés. Du 30 août au 3 septembre 1918, sur l'Ailette, il pénètre dans des positions défendues désespérément et force l'ennemi à la retraite. Martinique. Malgré les durs sacrifices stoïquement consentis, sous une réaction très violente d'artillerie, s'est élancé le 30 août à l'attaque frontale d'un piton dominant la ville de 100 mètres (mont Saint-Siméon), enlevant encore à la baïonnette des prisonniers appartenant à deux bataillons différents et vingt-six mitrailleuses en action. A fait 400 prisonniers et capturé 6 canons, 11 mitrailleuses et 2 minenwerfer. « Régiment d'élite parfaitement entraîné et d'une cohésion remarquable. 24 août 1940, les deux groupes sont dissous à Maison-Carrée près d’Alger. Les 15, 16 et 17 septembre, après l'héroïque résistance de Cuts (Oise), il marque, à Tracy-le-Mont et à Quennevières, le terme définitif de l'offensive des armées allemandes sur la route de Noyon à Paris. Du 18 août au 4 septembre, a livré, dans la région de Noyon, sous le commandement du lieutenant-colonel Poulet, une succession de combats heureux, au cours desquels il a réalisé une avance de près de 20 kilomètres. Au cours de l'épopée sublime de 1918, devant Villers-Bretonneux, ils enlèvent, le 26 avril 1918, sous les ordres du Lieutenant-colonel Schultz les positions de Cachy. De sa création à nos jours, il a par … ticipé à toutes les campagnes de la monarchie, de l’empire et de la république. S'y est énergiquement maintenu pendant deux jours, malgré de très violentes contre-attaques et un bombardement intensif et ininterrompu de front et d'écharpe. Unité de moral splendide, foyer ardent des plus belles vertus militaires, le 26e RI a bien mérité de la Patrie . « Héroïque régiment qui a surpassé, au cours de la campagne, les plus glorieuses traditions d'une histoire qui lui avait déjà valu la croix de la Légion d'honneur. En juillet, au début de la bataille de la Somme, conquiert d'un seul élan tous ses objectifs. Il attache ensuite son nom, pendant deux années consécutives, à l'héroïque défense de Verdun. le 19 octobre, s'est emparé d'un point d'appui fortement organisé où il a fait 105 prisonniers. — Ordre général de la 3e armée en date du 4 juin 1918, combats du 28 au 31 mars 1918 dans l'Oise (Orvillers-Sorel). — Ordre général n°356 de la 10e armée, combats du 11 au 13 juin 1918 sur le Matz, région de Marquéglise (Oise). « Régiment indigène animé du plus bel esprit offensif. », — Ordre général n°104 de la 10e armée en date du 16 septembre 1915, combats du 9 mai 1915 en Artois, « Sous les ordres du lieutenant-colonel Demetz, le 25 septembre 1915, a brillamment enlevé plusieurs lignes de tranchées allemandes, s'emparant à la baïonnette de plusieurs batteries, prenant de nombreuses mitrailleuses et faisant un butin considérable. ». Le Régiment ayant le plus d'inscriptions sur son drapeau est celui du : 2° régiment d'Infanterie de Marine. A pris part en 1915 aux sanglants combats du LABYRINTHE et de NEUVILLE-SAINT-VAAST, puis à l'offensive de CHAMPAGNE. — Ordre n° 6400 du GQG en date du 28 septembre 1918, combats du 20 au 29 août 1918 dans l'Aisne, entre Audignicourt et l'Ailette. — Ordre général n° 573 de la 2e armée en date du 5 janvier 1917, combats du 15 décembre 1916 à Verdun. ». II. Les unités les plus décorées, au nombre moyen de citations à l'ordre de l'Armée par unité, sont les Zouaves, avec 42 citations à l'ordre de l'Armée pour 8 régiments ayant combattu, les Tirailleurs Nord-Africains (algériens, tunisiens et marocains) avec 62 citations pour 16 régiments ayant combattu et les bataillons de chasseurs avec 242 citations pour 78 unités ayant combattu[1]. S'est ensuite rendu maître de la côte de l'Oie et de Régneville. », — Ordre général de la 10e armée, combats des 19 et 20 août 1918 dans l'Oise (région de Carlepont), « Sous le commandement de son chef, le lieutenant-colonel Auroux, a enlevé, le 6 octobre 1915, au petit jour, sur un front de plusieurs centaines de mètres, la deuxième position allemande| s'est porté d'un seul bond à plus de un kilomètre de là, a foncé sur l'ennemi surpris dans ses bivouacs, lui faisant subir à la baïonnette des pertes considérables. Aucun régiment de cavalerie n'a obtenu la fourragère rouge. Les régiments de recrutement italien. La Grande Guerre et la renommée de Douaumont en font le régiment le plus décoré de France. Beaux de dévouement, de courage et de sacrifice, ils dressent, dans la boue de Belgique, à Boesinghe et à Nieuport, le mur inébranlable de leurs poitrines. », — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au drapeau du 23e régiment d'infanterie - Président de la République, « Après avoir défendu le Grand Couronné en août 1914, a interdit à l'ennemi la route d'Amiens, enlevant du 25 au 29 septembre 1914 les villages de DOMPIERRE, FONTAINE-lès-CAPPY, et, à FONCQUEVILLERS, les débris d'un Drapeau bavarois. ». Les 16 et 17 octobre 1918, sous le commandement provisoire du chef d'escadrons Beugnot, et après une lutte dont l'opiniâtreté ne se démentit pas un instant, est parvenu à arracher à l'ennemi, dans des conditions qui eussent fait hésiter les plus braves, le passage de la Serre. Offensive sur l'Aillette Lombray-Crécy-au-Mont. Vannes. ». Engagé à fond, dès le 22 août 1914, sur la Sambre, il fait énergiquement tête à l'ennemi, le 23 à Oret, le 24 à Florennes et le 29 à Guise, où il enlève à la baïonnette la ferme de Bertaignemont. Question très très très tordue... "Aujourd'hui on dit que le 2e REP est le numéro 1 de l'armée de terre" 1- Qui a dit ça ? 2- C'est quoi être numér... Il porte 15 noms de batailles dans ses plis. Le 10 août 1918, sous les ordres du Lieutenant-Colonel Fournié, a parcouru dans un élan superbe plus de 7 kilomètres enlevant successivement trois villages et un bois fortement organisé et vigoureusement défendu, franchissant une rivière sur un pont violemment bombardé et prenant possession du point le plus élevé d'un plateau, progresse les 11 et 12 août, de plus de 1 200 mètres sur ce plateau, enlevant de haute lutte les organisations ennemies et une ferme opiniâtrement défendue et se maintient sur les positions conquises jusqu'à la relève, repoussant toutes les contre-attaques. », — Décision du 3 septembre 1918, 2e bataille de la Marne, « Corps d'élite, qui, sous la vigoureuse impulsion de son chef le colonel Boulle, a toujours atteint les objectifs qui lui ont été imposés. », — Ordre général n°164 du GQG en date du 8 novembre 1918, combats des 16 et 17 octobre 1918 dans la région d'Achery (Aisne, nord-est La Fère), « Régiment magnifique, bien que de récente formation, sous le commandement de son chef aussi modeste qu'héroïque, le lieutenant-colonel Charles-Roux, a attaqué sans répit, les 20, 21 & 23 juillet 1918, devant Tigny et le bois d'Hartennes toujours avec le même entrain, le même esprit de sacrifice et de dévouement, malgré des pertes très lourdes, malgré la désorganisation de ses cadres, faisant des prisonniers, prenant des mitrailleuses et se cramponnant au terrain conquis. Oui je c, mais malgrès qu'il date de 2012 d'autres peuvent ce poser les mêmes questions. Donc, si on peux aider des jeunes par ex qui souhaitent po... L'attribution de la fourragère rouge à la couleur de la Légion d'honneur à un régiment ne confère pas en même temps au drapeau de ce régiment le droit de porter la croix de la Légion d'honneur. 1° Royal-Italien (1671-1788) 2° Royal-Corse (1739-1788) Général (CR) M. Hanotaux. », — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au Drapeau 4e RMZT futur 16e RMT- Le président de la République, « Magnifique régiment où les soldats surent transformer en héroïsme l'angoisse de servir leurs familles esclaves et leurs foyers détruits, engagé dans toutes les grandes actions de la campagne, ne recula jamais devant les attaques de l'ennemi Verdun 1916-Aisne 1918. Il faut que le drapeau soit décoré par un décret spécial. A fait, au cours de sa progression, 900 prisonniers, dont 18 officiers des régiments de la garde prussienne| a capturé 10 canons, 12 minenwerfer, 26 mitrailleuses et une grande quantité d'armes, de munitions et de matériel. C'est un post de 2012 quand même!! En plus rien qu'au titre c'est un post de merde. Fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire (4-5 citations à l'ordre de l'Armée) Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Et quelle histoire! A capturé plus de 1 000 prisonniers, 10 mitrailleuses, un important matériel, et au cours d edeux reconnaissances particulièrement audacieuses et périlleuses, a détruit 9 pièces de canon ennemies. Arrivé au terme de ses objectifs, s'est emparé, par une brillante et vigoureuse action, d'une batterie ennemie encore armée| puis, prêtant son concours au régiment voisin, a poussé des reconnaissances jusqu'aux nouvelles lignes ennemies, pénétrant dans un village encore occupé et fouillant les batteries abandonnées par l'ennemi où il recueilli du matériel et effectué des destructions. — Ordre général n° 1445 de la 4e armée en date du 10 novembre 1918, combats du 26 au 29 septembre 1918 en Champagne (butte du Mesnil, plateau de Grateuil et Marvaux). S'est toujours signalé par une inébranlable ténacité et par sa ferme volonté, d'aller, s'il fallait, jusqu'au sacrifice total. « Le 18 septembre 1916, énergiquement entraîné par son chef, le lieutenant-colonel CARÉ, s'est jeté dans un élan superbe à attaque des positions allemandes et a enlevé brillamment la première ligne ennemie, sur un front de 800 mètres, brisant ensuite la résistance acharnée de réduits garnis de mitrailleuses, a atteint les objectifs qui lui étaient assignés à plus de 2 kilomètres de sa base de départ en exécutant sous le feu le plus violent un changement de direction des plus difficiles. A capturé vingt-trois canons dont douze lourds, des mitrailleuses, un matériel considérable, ainsi que plusieurs centaines de prisonniers. », — Ordre général n°573 de la 2e armée en date du 5 janvier 1917, combats du 15 décembre 1916 à Verdun, rive droite, « Régiment indigène de grande valeur entraîné au moral comme au physique par son chef, le lieutenant-colonel Dufoulon, a, pendant les journées des 23, 24 et 25 octobre 1917, sous l'énergique impulsion des chefs de bataillon Morand, Rothenflue et Pidaut, montré sa fougue habituelle et son mépris absolu du danger. Bataille du Nord Lassigny-Mametz. », — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la Médaille militaire au Drapeau du 2e RMT, « Drapeau glorieux. En août 1914, aussitôt débarqués et lancés dans la bataille, les tirailleurs, sous les ordres du Lieutenant-colonel Cros, retardent pied à pied la marche de l'envahisseur à la Fosse à l'eau, Bertoncourt, Ablancourt. « Régiment de nouvelle formation qui pour ses premières armes vient de se classer parmi les meilleurs par sa bravoure, sa ténacité et son esprit de sacrifice. A poursuivi l'ennemi, à travers un terrain particulièrement difficile, avec un remarquable allant| a atteint et même dépassé l'objectif qui lui était assigné. Hauts-de-France. « La 153e division d'infanterie (2e et 4e bataillons de chasseurs à pied, 9e régiment de zouaves, 1er régiment mixte de zouaves et tirailleurs, 39e et 60e régiments d'artillerie de campagne, compagnies du génie 9/7 et 9/57) après avoir montré, sous les ordres du général Deligny, un esprit offensif très remarquable, les 24, 2 et 26 février 1916 a fait preuve, les jours suivants, d'une tenacité, d'une endurance, d'un entrain, d'une volonté de rien céder à l'ennemi, au-dessus de tout éloge. Les 15, 16 et 17 septembre, après l'héroïque résistance de Cuts Oise, il marque, à Tracy-le-Mont et à Quennevières, le terme définitif de l'offensive des armées allemandes sur la route de Noyon à Paris. Dans l'offensive d'avril 1917, s'est emparé de BRAYE-en-LAONNOIS, prenant pied sur le plateau du CHEMIN des DAMES. En Belgique septembre-novembre 1918 a continué à faire preuve de ses superbes qualités d'audace, d'acharnement dans la lutte, et a brillamment soutenu sa réputation de régiment d'élite. Le même jour a emporté d'assaut, après de rudes combats de rues, une ville importante (Noyon) dont il conservait la possession malgré une violente contre-attaque brisée à la baïonnette. — Ordre général n°343 de la 10e armée en date du 13 octobre 1918, combats du 29 au 31 mai (Chaudun) et du 18 au 20 juillet (Chazelle) 1918 dans l'Aisne. Sorti aspirant le 25 juillet 1918, il est affecté au 5e régiment d’infanterie coloniale (RIC) à Lyon le 14 août 1918. Au château de Mondement et dans les marais de Saint-Gond, ils battent la garde prussienne. — Ordre général n° 548 de la 3e armée en date du 13 octobre 1918, combats des 29 et 30 août 1918 dans la région de Noyon. La fourragère est une décoration créée le 21 avril 1916 récompensant une unité militaire pour faits de guerre ou de bravoure exemplaires. 16 drapeaux ont été décorés au nombre de citations à l'ordre de l'Armée (au moins six citations) : La dernière modification de cette page a été faite le 23 décembre 2020 à 00:53. — Ordre général n° 1449 de la 4e armée en date du 12 novembre 1918, combats du 25 septembre au 15 octobre 1918 en Champagne-Ardenne, entre le nord du camp de Suippes et Vouziers. », — Ordre général de la 2e armée en date du 13 novembre 1916, combats du 24 octobre 1916 à Verdun, rive droite conquête du village de Douaumont, « Le 15 décembre 1916, sous l'habile et énergique commandement du lieutenant-colonel Vernois, a, d'un magnifique élan, enfoncé les lignes allemandes sur une profondeur de 2 kilomètres, s'emparant, malgré une vive résistance de l'ennemi, de trois organisations successives fortement retranchées, capturant 1 038 prisonniers, dont 27 officiers et prenant ou détruisant 5 canons de 77, 10 canons de tranchée et un nombreux matériel de guerre. ». Le 18 juillet 1918, énergiquement commandé par la chef de bataillon Dhomme, renforcé par le bataillon Deranque, du 8e Tirailleurs, est parti à l'assaut avec un entrain merveilleux, brisant toutes les résistances, refoulant l'ennemi sur une profondeur de 7 kilomètres, lui faisant subir des pertes cruelles et capturant 950 prisonniers, 26 canons, 150 mitrailleuses et un nombreux matériel. Citations accompagnant les décrets d'attribution de la Légion d'honneur et de la médaille militaire au drapeaux, Texte des 62 citations collectives à l'ordre de l'armée des 16 régiments de tirailleurs nord-africains (algériens, tunisiens et marocains) ayant combattu au cours de la Première guerre mondiale, Double fourragère verte et rouge - couleur de la Croix de Guerre et de la Légion d'honneur (9-11 citations à l'ordre de l'Armée), Fourragère rouge - couleur de la Légion d'honneur (6-8 citations à l'ordre de l'Armée), La tradition d'attribuer la Légion d'honneur au drapeau d'un régiment ayant accompli l'exploit de prendre un drapeau ennemi remonte au Second Empire, lors de la Campagne d'Italie contre l'Autriche et plus précisément à la bataille de Magenta (1859), Régiment d'infanterie coloniale du Maroc (RICM), Régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE), régiment de marche de spahis marocains (RMSM), Régiment de marche de la Légion étrangère, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_unités_de_l%27armée_française_les_plus_décorées_au_cours_de_la_Première_Guerre_mondiale&oldid=177938611, Liste en rapport avec l'histoire militaire, Histoire de la France pendant la Première Guerre mondiale, Unité militaire française de la Première Guerre mondiale, Portail:Première Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 5 drapeaux ont été décorés pour des actes d'héroïsme individuels au cours des deux premiers mois de la guerre. — Ordre général n° 341 de la 10e armée en date du 20 septembre 1918, combats du 28 mai au 17 juin 1918 dans l'Aisne (Missy-aux-Bois et Ambleny). De la prise de Douaumont en 1916, aux missions récentes en Afghanistan, au Mali ou en Centrafrique, le RICM s’est définitivement illustré. Bonjour! Pour ESS, vous l'aviez déjà posé la question L'Artilleur dans un ancien post de votre main. Alors? On a une mémoire de poisson rouge? (hum... Engagé dans les plus durs combats. A par sa ténacité et son audace réussi à surmonter les obstacles qui s'opposaient à sa marche, donnant son aide aux camarades et réussissant à regagner dans un élan superbe les 3 kilomètres qui le séparaient des unités de tête, pour les dépasser à son tour. A capturé plusieurs centaines de prisonniers, de nombreux canons et mitrailleuses, infligeant à l'ennemi des pertes considérables. — Ordre général n°478 de la 4e armée en date du 30 janvier 1916, combats du 25 septembre 1915 en Champagne (ouvrage d'Ulm). Il est engagé militaire pour la durée de la guerre 1939-1945, au titre du III e Régiment de marche du Tchad, au sein de la 2 e Division blindée du général Leclerc. Va chercher de nouveaux lauriers sur les lignes d'Hardecourt et de Maurepas, prend une part glorieuse à l'attaque du chemin des Dames et aux opérations du printemps 1918. », — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au drapeau des Fusiliers marins - Président de la République, « Régiment magnifique au feu qui, pendant toute la campagne, sur les points du front où il a été engagé, a affirmé nettement sa supériorité sur l'ennemi. 1er avril 1937 mise sur pied des 601e et 602e groupes d’infanterie de l’air (GIA) basés respectivement à Reims et à Baraki près Alger. ». A soutenu avec un moral qui a fait l'admiartion de tous, des bombardements ininterrompus pendant plusieurs jours, résistant à deux contre-attaques particulièrement violentes sans abandonner la moindre partie du terrain conquis. ». Chef de section à la 11e compagnie, il participe aux c… Le 16 juin 1915, sous les ordres du lieutenant-colonel Daugan, a enlevé de la façon la plus brillante, et au prix de lourdes pertes, quatre lignes de tranchées ennemies et s'y est maintenu malgré un feu violent et des contre-attaques répétées. Bien que réduit par les pertes et privé d'une grande partie de ses cadres, a maintenu ses gains et repoussé toutes les contre-attaques ennemies. Le 9 juillet 1916, ils se sacrifient et meurent sur les fils de fer de Barleux. — Ordre général n° 403 du 21 octobre 1916 de La VIe armée, combats du 12 septembre 1916 dans la Somme, à l'ouest de Bouchavesnes. Dans la période du 8 au 11 novembre 1918, par la vigueur de ses coups et par la rapidité et l'opiniâtreté de sa poursuite, a permis de conduire jusqu'à la Meuse la division dont il formait l'avant-garde. Le 25 septembre 1915, il prend, à la bataille de Champagne, une part des plus glorieuse, attache ensuite son nom à la défense de Verdun, où il déploie pendant deux années consécutives, ses plus belles qualités militaires : inébranlable dans le sacrifice, irrésistible dans l'attaque.
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